Love me tender • Alexgail

Depuis l’arrivée de ce fils, Alex se rendait compte que les choses s’étiolaient progressivement. Un peu comme si sa vie d’avant perdait ses couleurs et ses saveurs. Il avait la douce impression de sombrer, en grande partie parce que son repère s’éloignait. En effet, Abigail avait beau faire tous les efforts du monde, tout ce qui lui était possible, pour accueillir au mieux son beau-fils, Alex se rendait bien compte qu’elle souffrait de la situation. Et si le couple avait l’habitude de se parler de leur problème, le chirurgien avait l’impression que sa femme l’évitait. Alors il devait agir. C’était incroyable de se dire qu’après quasiment vingt ans de relation, il s’agissait de la première fois où il avait l’impression de la perdre.

Alors Alex avait agi. Il avait décidé de sortir le grand jeu pour impressionner sa femme. Ou pour être tout à fait exact, il avait décidé de faire exactement ce qu’il savait qui ferait le plus plaisir à Abi. Il avait donc demandé à ses enfants de sortir ce soir, d’emmener si possible avec eux son aîné et qu’il était même prêt à leur payer leur sortie. Il voulait faire une surprise à leur mère et passer la soirée en tête à tête avec elle. Bien évidemment, ils ne devaient rien lui dire. Les enfants avaient été plus que facilement convaincus par cette décision soudaine. Peut-être que eux aussi sentaient qu’il se tramait quelque chose dans leur couple et voulaient aider du mieux qu’ils le pouvaient leurs parents à se retrouver.

Alex avait donc aménagé sa journée pour finir très tôt. Plus tôt que d’habitude disons. Il s’était précipité vers la maison, pressé de retrouver sa femme et de lui faire la surprise. Il trouva la maison comme attendue plus que silencieuse. Alex se dirigea vers le salon dans lequel il trouva sa femme assise dans un fauteuil, tournée dos à lui. Il ne pouvait pas apercevoir ce qu’elle faisait. Le chirurgien essaya du mieux qu’il le pouvait de s’avancer en silence pour préserver encore pour quelques secondes l’effet de la surprise. Il déposa délicatement un baiser dans le cou de sa femme avant de murmurer à son oreille : « Tu m’as manqué, tu sais ... »

Rentrer pour retrouver sa femme était la meilleure idée qu’il avait pu avoir. Surtout quand les enfants n’étaient pas là. S’il le pouvait, il en abuserait tout les soirs. Mais les responsabilités l’obligeaient à rester au travail le soir, la clinique imposait des gardes de nuit et il était bien obligé de les faire en tant que chirurgien en traumatologie. Mais quel bonheur de retrouver sa femme et de lui faire la surprise. « J’ai pris ma soirée » lui répondit-il avec un sourire. Alex contourna le fauteuil et alla s’assoir près de sa femme. Il ne put s’empêcher de rire quand il l’entendit lui annoncer - comme s’il ne le savait pas - que les enfants étaient au cinéma. Le père de famille qu’il était était plus que heureux de savoir ses enfants ensembles, notamment avec les dernières péripéties qui avaient bousculé leurs vies. Cependant, il fallait bien le reconnaitre que certainement ses enfants n’auraient pas eu l’idée d’y aller ou de laisser à leurs parents un moment de complicité à deux si Alex ne leur avait pas demandé. « Je sais c’était mon idée. Ça fait partie de mon plan pour pouvoir passer la soirée avec ma femme ! » lui dévoila-t-il, guettant un peux anxieux sa réaction. Bien qu’il ne doutait pas de l’amour de sa femme pour lui et qu’il voyait bien les efforts incommensurables qu’elle faisait au quotidien pour intégrer son beau-fils, Alex ne pouvait s’empêcher de se dire qu’elle n’avait plus envie de passer une soirée en tête à tête avec lui. « J’ai organisé cette petite soirée pour te remercier de tout ce que tu as fait pour moi ces derniers temps. Et puis te dire à quel point je t’aime et que notre relation est importante à mes yeux ! » lui déclara-t-il, les yeux dans les yeux. Il l’aimait encore, aussi fort qu’aux premiers jours, même après vingt-ans de relation. Il avait besoin de lui dire, surtout en ce moment, quand leurs certitudes volaient en éclat.

Abigaïl semblait ravie de l’idée de son mari. Ce qui soulageait grandement le chirurgien. Même s’il savait parfaitement - pour connaitre sa femme par coeur en vingt ans de mariage - comment la surprendre et lui faire plaisir, il n’en restait pas moins qu’avec les circonstances actuelles, rien n’était sur. Il avait peur qu’Abigaïl lui en veuille d’avoir eu un autre enfant, d’une autre femme, même si toute cette histoire remontait au temps où les deux amoureux n’étaient encore que des voisins. Alex ne voulait pas laisser penser à sa femme qu’elle ne comptait plus autant pour lui maintenant que son aîné - fils de son premier amour - avait débarqué dans leur vie. « ça me fait tellement du bien et ça me rassure d’entendre ça ! C’est mon fils et je culpabilise déjà assez de ne pas avoir été là pour lui. Donc savoir que vous l’acceptez aussi bien me soulage énormément ! » lui confia-t-il une énième fois. En effet, le couple avait déjà abordé à de nombreuses reprises ce sujet. Alex s’étant toujours confié à sa femme, il l’avait fait avec un naturel déconcertant à l’arrivée de son aîné. Ainsi, le chirurgien avait mis des mots sur ce qu’il ressentait : il culpabilisait que son ex-copine ait élevé toute seule l’enfant alors qu’il savait pertinemment qu’il l’aurait assumé. Qu’il l’aurait aidé à l’élever et même qu’il aurait été heureux de le faire. Il culpabilise par ailleurs de lui avoir laissé croire le contraire, seule chose qui pouvait justifier à ses yeux ce silence de plus de vingt ans. Silence qui avait rendu malheureux Alex, le faisant douter de sa relation avec la mère de son fils mais surtout d’avoir été privé de lui toutes ces années.

Alex se contenta d’hocher la tête lorsqu’Abigaïl essaya une fois de plus de le rassurer et de lui montrer à quel point son fils aîné était bien élevé. Le sujet restait encore trop douloureux pour lui. Il n’en revenait pas de tout ce qu’il avait pu manquer ! Il laissa sa femme venir se lover dans ses bras. Il respira le parfum de ses cheveux, en silence tout d’abord, laissant sa main caresser son avant-bras. Il laissa sa femme rompre ce moment de silence agréable lorsqu’elle lui demanda ce qu’il avait prévu pour cette soirée en amoureux. Un grand sourire éclaira son visage. « Surprise Madame Hamilton ! » la taquina-t-il, en acceptant son baiser. Il lui en rendit un plus passionné, lui témoignant ainsi tout l’amour et le désir qu’il avait pour elle. « J’ai commandé chez le traiteur méditerranéen que tu aimes tant » lui avoua-t-il, espérant ainsi bien commencer la soirée en lui faisant plaisir. « Pour la suite, je suis prêt à réaliser tes moindres désirs ! » lui expliqua-t-il en lui lançant un regard charmeur, pleins de sous-entendus. Cela lui faisait si plaisir de retrouver sa femme pour un moment privilégié en tête à tête.

Alex a de nouveau confié à sa femme à quel point il culpabilise de ne pas avoir été à la fois pour son ex-copine et pour son fils, de ne pas avoir été présent pour eux quand ils en avaient besoin. Bien évidemment qu’il aurait aimé faire partie de leur vie et surtout de celle de son fils. Il aurait adoré, comme il avait adoré pour Andréa et son fils, le voir grandir, évoluer, découvrir avec lui ses passions et ses dégoûts. Il avait été privé et même si c’était dur pour lui, il en arrivait par moments à comprendre les raisons qui avaient poussé la jeune femme à agir ainsi. Heureusement qu’Abigaïl était là pour le soutenir dans cette épreuve qu’il traversait. Encore maintenant, elle lui rappelait qu’il avait toujours été un bon père pour leurs deux enfants et qu’il en deviendrait certainement un pour son fils aîné. Alex lui sourit et déposa un bisou sur sa joue, avant de lui murmurer « Merci ! Tes paroles me touchent ... », la voix pleine d’émotion.

Ce fut à ce moment-là qu’Abigaïl vint se blottir dans ses bras. Le meilleur moment de la journée, ne put s’empêcher de penser Alex. Il lui caressait le bras, tout en ayant l’odeur de ses cheveux dans le nez. Sentir la présence de sa femme tout contre lui lui faisait plus que bien après cette journée à l’hôpital et surtout dans les moments compliqués qu’il traversait en ce moment. Aussi gourmande qu’elle était, Alex s’attendait à ce que sa femme mette le sujet du repas sur la table bien plus tôt. A l’évocation du traiteur méditerranéen qu’elle aimait tant, le chirurgien ne put que découvrir l’immense sourire qui ornait les lèvres de sa femme. Au moins, sur ce point, il avait marqué juste. Le début de la soirée allait bien se passer. Il ponctua cette déclaration en lui avouant qu’il était disposé ce soir à réaliser tous ses rêves. Même si en disant cela, il avait déjà une idée derrière la tête. Idée qui allait parfaitement avec celles de sa femme. Un grand sourire aux lèvres, il lui répondit : « Le traiteur nous livre sur la plage dans une heure. Tes rêves sont exhaussés avant même que tu ne les formules ! » la taquina-t-il légèrement avant de l’embrasser tendrement. « Tu as un autre désir pour cette heure entière que nous devons combler avant de manger ? » murmura-t-il, en décollant légèrement ses lèvres de celles de sa femme et en affichant un air charmeur sur son visage. Après tout, il avait dit qu’il était prêt à réaliser ses moindres désirs, quels qu’ils soient.

Alex hocha de nouveau la tête aux mots réconfortants de sa femme avant de déposer un délicat bisou sur sa joue. Pour ce soir, et afin de profiter au maximum de leur soirée en tête à tête - une des rares qu’ils pouvaient s’accorder - Alex était bien décidé à laisser le tourbillon de ses pensées et de ses sentiments en dehors de sa tête. Il voulait uniquement se concentrer sur ce soir, sur cette soirée avec sa femme qui s’annonçait plus que merveilleuse. L’homme restera son étreinte contre le corps d’Abigaïl. il ne se lassait pas de la contempler surtout quand elle semblait agréablement surprise de la suite des évènements. Pour une fois, Alex avait tout prévu et tout anticipé. Il avait pensé à faire livrer la nourriture préférée de sa femme, dans un des endroits qu’elle préférait à Darien. « C’est plutôt moi qui ai de la chance de t’avoir ! D’avoir eu la chance de t’épouser et de vivre à tes côtés depuis tant d’années ! » lui déclara-t-il tendrement.

Le couple disposait d’une heure de temps libre avant que la nourriture ne leur soit livrée. Une heure que pour eux dans une maison calme. Le pur bonheur ! Et cette idée donnait des envies à Abigaïl. Avec un grand sourire aux lèvres, il lui glissa à l’oreille : « Je te suis ! » avant de se lever à son tour du fauteuil, de suivre sa femme dans les escaliers. Ils venaient de pénétrer dans la chambre parentale et Abigaïl se dirigeait vers la salle de bain attenante. Ce fut à ce moment-là qu’Alex l’arrêta et l’attira vers lui. Il lui donna un baiser passionné. Il passa sa main sous son haut qu’il entreprit de faire remonter, dénudant progressivement sa femme. « A moins que tu comptais te prélasser dans la baignoire toute habillée ... » dit-il avec un sous-ton coquin et en remettant - très très doucement - le haut à sa place, avec un air de pas vu pas pris.

A mesure que le couple se dénudait pour profiter du bain quémandé par sa femme, Alex ne cachait pas sa joie. Un sourire coquin sur les lèvres s’était progressivement dessiné. « Rappelle moi de virer les enfants plus souvent de la maison ! » lui dit-il, en l’embrassant une nouvelle fois passionnément. Il laissa sa femme se décoller de lui en assistant à son petit manège. Elle savait si faire pour qu’il soit encore sous son charme vingt ans après. Il posa sa main sur le creux de ses reins avant de défaire la fermeture éclaire qui retenait sa jupe. « Je devrais remplir la baignoire avant qu’on passe directement à la dernière étape de la soirée parfaite que j’avais prévu » murmura-t-il à l’oreille de sa femme, avant de trouver en lui-même le courage de se défaire de son corps. Il devait lui résister encore un peu, ne serait-ce que pour faire monter encore davantage le désir entre eux. Se faisant, Alex fit quelques pas pour rejoindre leur baignoire - lors de l’achat, ils s’étaient mis d’accord, très facilement, sur le fait qu’il en fallait une assez grande pour qu’ils puissent en profiter ensemble - et il commença par boucher le siphon. La baignoire se remplissait progressivement. Alex sentit qu’Abigaïl s’approchait de lui, peut-être trop dangereuse pour qu’il ne cède pas à son envie irrésistible de lui faire l’amour, là, tout de suite.

Alex regarda sa femme se dévêtir lentement et attisait son désir. Il était toujours autant amoureux du corps de sa femme, pour son plus grand plaisir. Après avoir rempli la baignoire, en vérifiant soigneusement la température de l’eau, Alex y ajouta du bain moussant, ce dont raffolait Abigaïl. Autant aller à fond dans la surprise et dans les choses qui lui faisaient tant plaisir ! Il apprécia les quelques bisous qu’elle déposa sur son dos et dans sa nuque. « J’aurai dû me douter que tu serais impatiente de me déshabiller ! » lui répondit-il en finissant à son tour de se déshabiller. Alex avait lancé un regard plutôt coquin à sa femme alors qu’il surjouait la personne étonnée de finir nu aussi rapidement dans la soirée. Quoique cela ne lui déplaisait pas, bien au contraire ! Il savoura le moment où elle passa totalement nue devant lui pour aller se glisser dans le bain moussant. Il attendit que son corps disparaisse totalement sous la quantité de bain moussant et de bulles pour accepter son invitation de la rejoindre. Alex se glissa derrière elle et prit sa femme dans ses bras. Il commença par lui faire des papouilles sur le ventre, lentement. Pour calmer son désir qui montait inexorablement en lui, et pour ne pas éviter de projeter leur couple directement à la dernière étape, Alex décida de focaliser son attention sur autre chose. « J’ai entendu dire que la journée avait été longue pour toi à la clinique ». Bruits de couloir auxquels il ne prêtait guère attention sauf quand il s’agissait de sa femme.

Dans la baignoire avec sa femme, Alex lui caressait doucement le bras puis le ventre. Pour calmer ses ardeurs, il avait demandé à sa femme comment s’était passée sa journée. Il écouta attentivement son récit des accouchements qu’elle avait assisté médicalement. « Heureusement que tout finit bien ! Trois bébés en une journée ça fait beaucoup pour ici » répondit-il. Alex continua à caresser le corps de sa femme. Sa main venait d’arriver au niveau de sa poitrine. « J’ai préparé tout cela il y a une semaine déjà. J’avais hâte de me retrouver avec toi ! ». Tout en déposant des délicats baisers dans son cou, il commença à lui caresser les seins. Il sentit les mamelons de sa femme durcir sous ses doigts. « Je n’ai aucune envie de parler des enfants maintenant » répondit-il avec un petit rire. Ils n’auraient jamais du commencer par ce bain ensembles, sous la mousse. Il était évident qu’Alex allait avoir envie de faire l’amour à sa femme - comment résister en même temps ? - et que la suite du programme serait fortement compromise. Il n’avait plus du tout envie de sortir de cette baignoire et d’aller pic niquer sur la plage. Autant profiter du bain moussant bien chaud encore un peu ...

Alex ne voyait que le dos de sa femme lorsqu’elle lui parlait. Par conséquent, il ne pouvait pas distinguer les airs qu’elle prenait lorsqu’elle lui racontait sa journée et surtout la venue au monde de trois enfants en une journée, dans une petite ville comme Darien. Aussi improbable qu’impensable ! « Ça me rappelle quand tu as cru que tu allais accoucher d’Andréa en Italie » leur remémora-t-il, un grand sourire aux lèvres. Au huitième mois de grossesse, Alex avait paniqué. Une véritable crise de panique qui l’avait conduit à demander à sa femme, à la supplier même, de partir avec lui en voyage, rien que quelques jours, loin de tout comme ils faisaient quand ils étaient encore qu’au début de leur relation. Surement qu’Abi avait senti la peur panique de son mari - d’ailleurs, il était bien incapable de se contrôler et de se calmer - et elle avait accepté. Ils étaient donc partis tous les deux - avec une Abi enceinte de huit mois tout de même - assez loin, en Italie et plus précisément à Venise. Venise avait été choisie par Alex puisque tout le monde en parlait comme une des plus belles capitales de l’amour au monde ! Autant amener sa femme - et sa future fille - dans une ville si symbolique ! Et lors de ce voyage, Abigaïl avait cru qu’elle allait accoucher après un restaurant en amoureux et les voilà donc tous les deux en train d’arpenter à pied une ville inconnue - car il fut bien évidemment impossible de trouver un taxi de disponible à une heure aussi avancée de la nuit - dans l’espoir de trouver une clinique ou un hôpital d’ouvert. Plus de peur que de mal heureusement puisque Abigaïl avait accouché quasiment un mois plus tard dans leur petite ville douillette de Darien. « Je sais mais je ne veux pas voir ma femme uniquement entre deux portes ou deux patients » formula-t-il. Evidemment qu’avec maintenant trois enfants et un boulot prenant, aucun des deux n’avait suffisamment de temps à accorder à l’autre. Mais au moins, ils essayaient de faire des efforts, comme ce soir de la part d’Alex. Ce fut à ce moment-là qu’Alex confia à sa femme que bien qu’il aimait de tout coeur ses enfants, il n’avait aucune envie d’en parler. Il voulait que ce moment soit uniquement le leur, un moment de plaisir et d’intimité, loin de leur vie de famille. Abigaïl ne se fit pas prier pour laisser derrière elle ses soucis de mère. Elle se retourna et embrassa son mari, avant de se mettre à califourchon sur lui, ses mains se dirigeant vers son bas ventre. Alex se lassa faire, savourant le contact de sa femme tout contre son corps. Il laissa ses doigts parcourir les cuisses de sa femme puis son sexe, la regardant prendre du plaisir sous ses gestes assurés.

HJ : désolé pour le délai  

Alex avait évoqué un agréable souvenir : un de leurs derniers voyages en amoureux. Il datait d’avant la naissance de leur première fille et encore au moment où Alex ignorait qu’il avait un enfant avec son premier amour. Une période plein d’insouciance même si le couple avait bien cru que leur fille allait naitre en Italie. Le jeune homme restera son étreinte autour du corps de sa femme, et se pencha légèrement en avant pour lui murmurer, sur un ton de plaisanterie, près de son oreille. « Je te laisse organiser notre prochain voyage. J’ai essayé d’organiser un simple repas et te voilà toute nue dans la baignoire ». Puis, il déposa quelques bisous délicats dans son cou qui se firent de plus en plus passionnés. Alex était en train de caresser les seins de sa femme quand celle-ci lui fit remarquer que cela serait bien dommage pour eux deux de ne plus travailler ensemble. « Ça serait surtout une grande perte pour les yeux ! » répondit-il en plaisantant. Le jeune homme avait à peine terminé sa phrase que sa femme se retourna et l’embrassa passionnément. Décidément, ils allaient être plus qu’en retard à leur repas sur la plage ! Mais c’était si difficile de résister à Abigaïl surtout pour une fois qu’ils avaient la maison pour eux tout seuls, sans enfants ! Les mains de sa femme étaient déjà autour de son sexe avant que les siennes ne commencent à la caresser. Abigaïl chevaucha son mari afin que ce dernier la pénètre et ce fut la jeune femme qui guida leurs mouvements et leur cadence. Pour le plus grand plaisir d’Alex qui ne tarda à pas à jouir. Il sourit à sa femme avant de lui déclarer, très sérieusement. « J’aime savoir que tu prends toujours ton pied après tout ce temps ! ». Il lui caressa la joue avant de déposer un délicat bisou sur son nez. Puis Alex se pencha, sa femme toujours sur lui, et attrapa une serviette. Il enroula les épaules de sa femme avec. « Bien que j’aimerai rester ici avec toi éternellement et recommencer à te faire l’amour, un repas nous attend sur la plage ! ».